Vous souhaitez investir dans la pierre, mais vos fonds propres ne vous le permettent pas ? Pourquoi ne pas demander un financement auprès des établissements bancaires. Différents modes de financement sont possibles. Découvrez lesquels.
Le crédit immobilier
Pour faire un investissement immobilier à Clermont-Ferrand, le crédit immobilier est le mode de financement le plus sollicité. C’est un prêt amortissable pour lequel les mensualités se composent d’une partie du capital et d’une partie des intérêts.
Le prêt relais
Ce prêt est conçu pour les propriétaires qui veulent vendre leur actuel bien afin d’en acheter un autre. La banque leur avance le capital nécessaire pour effectuer l’achat et le récupère une fois l’autre bien vendu. Jusqu’à la conclusion de la vente, l’emprunteur rembourse une partie des intérêts tous les mois.
Le prêt in fine
Si vous avez une forte capacité d’épargne, ce prêt est le mieux adapté. Durant la durée de remboursement, l’emprunteur ne rembourse que les intérêts. Une fois que c’est fait, il faut rembourser le capital en une seule fois. La date de remboursement est fixée dans le contrat, dès le départ.
Le crédit à la consommation
C’est un crédit que l’on peut utiliser librement, sans aucun justificatif auprès de la banque. Il est donc possible de l’utiliser pour compléter un bon apport personnel. Le montant maximal autorisé est de 75 000 euros. Il est déconseillé de l’associer à un crédit immobilier classique pour ne pas augmenter son taux d’endettement.
Le prêt « travaux » affecté
Ce prêt est intéressant lorsque vous achetez un bien ancien nécessitant des travaux ou lorsque vous souhaitez réaliser des travaux dans votre actuelle résidence principale. Il faudra néanmoins présenter des justificatifs (devis et factures) auprès de la banque. IL peut servir à financer des travaux de rénovation ou d’extension.
Le prêt à taux zéro ou PTZ
Il est destiné aux primo-accédants, c’est-à-dire aux personnes qui veulent acheter leur résidence principale pour la première fois au cours des deux dernières années. Il peut couvrir jusqu’à 40 % du coût total de la transaction.